Créer un site internet

Deux amis dans mon lit conjugal

 

J

e me suis marié avec Claude cela fait maintenant trois ans. Mais depuis notre union, aucun enfant n’est venu parfaire notre union en nous comblant de joie. Ma situation était des plus compliquée. Je ne savais pas si c’est mon qui est stérile ou si c’étais mois. Mais comme nous sommes en Afrique, tous les doutes planaient au-dessus de ma pauvre tête fatiguée de supporter les sarcasmes de mes parents et de ceux de mon mari. Je souffrais de la situation, mais lui ne semblait pas s’en préoccuper. Il me disait chaque soir lorsque j’évoquais le sujet que les enfants ne sont pas le point le plus important dans un mariage. Il refusait de voir un médecin et continuait sa vie comme si de rien n’était.  L’une de ses nombreuses boutades avec lesquelles il m’assommait était que sûrement, le temps de Dieu sonnera un jour pour nous. Moi, je ne supportais plus. Un soir, il me fit la présentation de Jean-Philippe, l’un de ses vieux potes. C’était un monsieur gentil et très attentionné. Pendant tout le diner, il n’a pas arrêté de me faire des compliments. J’étais gênée pour finir. Mon mari jouait les indifférents devant tant de sollicitudes à mon égard de la part de son ami. D’ailleurs, il trouva une excuse pour nous laisser seuls un instant

Jean-Philippe venait régulièrement nous rendre même en l’absence de son ami Claude. Il a fini par me prendre le cœur et nous sommes devenus amants.

14 février, le jour de la Saint-Valentin, pendant que Claude était en voyage, Jean-Philippe m’invita à la plage. Après nous être amusé sur le sable fin, une surprise m’attendait dans une chambre qu’il avait réservée dans un luxueux hôtel en bordure de mer. Des bougies étaient allumées partout dans la chambre et une bonne odeur de grillade aiguisait mon appétit. La lumière vacillante des bougies faisait danser les ombres sur les murs blancs et nos silhouettes, débout au milieu de la chambre, valsaient à leur tour sur la façade des murs. Dîner à la chandelle pour mon ange, annonça-t-il heureux. Nous avons bien mangé et bu un excellent vin, le tout au son d’une douce musique qui s’élevait dans la chambre. Je croyais rêver tellement tout était féerique. J’étais vêtue d’un léger tee-shirt et d’un pantalon en toile qui moulait parfaitement mon corps. Après le copieux repas, Jean-Philippe m’invita à danser. Il me passa la main autour de la hancha et me sera fermement à la taille. Lorsque mes seins ont effleuré sa poitrine au travers de mon tee-shirt, j’ai tressailli. Une fois blottie contre sa poitrine, nos ombres semblaient unifiés sur le mur. De sa main, il a relevé mon menton, faisant basculer ma tête vers l’arrière. Mes lèvres étaient ainsi offertes à la merci de ses lèvres. Il les posa sur les miennes et lentement sa langue s’est frayé un passage dans ma bouche. Je tressaillais de plus en plus. Il m’a embrassée tendrement en me caressant le bas du dos. Je fondais de plaisir. M’ayant soulevé de terre, Jean-Philippe me pris dans ses bras vigoureux et m’a conduite jusqu’au lit, le tout dans des gestes doux et calculés. Il m’a déposée délicatement sur le lit, s’est mis à genoux et ses penché sur moi. J’avais toujours els yeux fermés. J’ai senti sa main me caresser le cou puis descendre sur ma poitrine. M’étant légèrement relevée, je me suis débarrassée de mon tee-shirt livrant à ses yeux mes seins dressés. Il a refermé la bouche sur le globe gauche et sa langue s’est mise à rouler sensuellement autour du téton durci par le plaisir. Cela déclenchait en moi de violentes secousses électriques qui se répercutaient dans tout mon être jusqu’au bout de mes doigts. Ses lèvres se sont ensuite promenées sur tout mon corps. Mon plaisir était à son comble, je hurlais, râlais, gémissais, criais tantôt fort, tantôt doucement. Il a défait la fermeture de mon pantalon puis l’a retirée avec tact. Désormais, j’étais parfaitement nue, couchée au milieu du lit. Il a écarté mes jambes qui tremblotaient, me les fait replier, puis il a enfoui son visage entre mes cuisses. Sa langue s’est introduite dans  la fente de mon sexe humidifié. J’ai aussitôt déposé mes deux mains sur sa tête. Sa langue roulait merveilleusement bien, de l’ouverture de ma fente à mon clitoris gonflé. Je criais de plus en plus fort. S’étant mis nu, il a tenté le passage dans ma fente. J’avais tellement mouillé qu’il n’eut aucun mal à me pénétrer. J’ai ressenti une légère douleur puis le plaisir a repris le dessus. Il allait et venait  en moi avec plein de douceur, accélérant au fur et à mesure le rythme. Je hurlais, plantant mes ongles dans le bas de son dos. Il s’est brusquement raidi et son visage s’est figé. Haletant bruyamment, il a déversé son jus d’amour en moi en gémissant.

Cette première nuit d’amour avec Jean-Philippe est restée graver dans ma mémoire comme le meilleur souvenir que je me remémorerai chaque moment avec délice.

Un mois après cet ébat merveilleux, j’ai constaté que j’avais un retard. Je ne croyais pas ce qui m’arrivait. J’avais peur et j’étais excitée en même temps. J’étais enceinte. Mais de qui ? Un soir Claude est rentré tout fatigué du boulot. Je ne lui avais pas encore annoncé la nouvelle, ni à lui ni à Jean-Philippe. Cela faisait trois mois et les plus incultes pouvaient constater mon état. Pendant que je prenais une douche, quelqu’un pénétra dans la chambre. J’ai naturellement cru que c’était Claude que j’avais laissé au salon. Mais à ma grande surprise c’était Jean-Philippe. Je m’apprêtais à lui demander  ce qui se passait lorsque j’ai vu mon mari à ses côtés. Mon sang a fait un tour dans ma tête et je me suis sentie défaillir. J’étais nu avec mon ventre arrondi face aux deux hommes de ma vie qui étaient aussi des amis. Une situation plus qu’inconfortable. Mille questions se bousculaient dans ma tête. Puis plus rein, le noir. Je me suis réveillée à l’hôpital. Jean-Philippe n’était pas là mais mon mari me tenait la main. Rapidement il m’expliqua que je n’avais rien à craindre et que c’était lui qui m’avait poussée subtilement dans les bras de son ami en sachant que lui il était stérile. Ha les hommes ! vous ne finirez jamais de nous étonner.

 

Source : Vie Intime

 

  • Aucune note. Soyez le premier à attribuer une note !

Ajouter un commentaire